Mes conseils pour plus d’infos ici

Ma source à propos de plus d’infos ici

Vous n’êtes pas sans savoir que les polémiques concernant les protections périodiques croissent. Composition, syndrome du ulcération drogues, coût, les problèmes sont multiples. Depuis plusieurs années, on assimile de plus en plus communiquer la culotte menstruelle et nous avons décidé, avec mon réseau, de nous pencher sur le sujet. Je vous ai demandé si vous aviez des interrogations via Instagram story et nous avons tenté d’y répondre en vidéo et sur cet article. Au de sa carrière, une femme aura ses règles au cours de 2250 jours, soit durant plus de six fours ans. Cela génère environ 470 cycles pendant d’une vie.

Les protections hygiéniques sont en prospect permanent avec nos muqueuses vaginale ou utérine. Ces muqueuses sont par définition super vascularisées, constituées de cellules épithéliales et posent un rôle notoire de contagion à nos organes. Ainsi, elles captent et absorbent les grandes molécules, mais aussi les mauvaises ! Les protections hygiéniques jetables contiennent un si grand nombre de sujet toxiques comme des désherbant ( glyphosate, phtalates ), des gels polymères super passionnants, des agents blanchissants comme le cl, des perturbateurs endocriniens comme l’aluminium, des nanoparticules d’argent, et même des additifs de ( selon l’ANSES ).

La coupe menstruelle ou “cup” est une alternative aux housses périodiques traditionnels, à savoir les bâillon et serviette hygiéniques. Réutilisable, ce petit comportant en forme d’entonnoir se positionne à l’intérieur du vulve pour acueillir le flux menstruel. Le principe de la coupe menstruelle plaît à de plus en plus de femmes qui choisissent d’opter pour l’emploi d’une cup durant leurs règles plutôt que de pardonner des bâillon et sacoche. Pourtant pas nouvelle puisqu’elle a vu le jour dans les années seulement quelques, la cup fait de plus en plus parler d’elle et rencontre un succès progressif.

Ces polémiques ont eu le réclame de élever peu à peu le anonyme aphasie escortant les règles, un phénomène qui touche pour autant proche de 50% de la population pour environ 38 ans de leur vie. La recherche progresse à la même vitesse, disposant de ces dernières années de nouvelles prestations toutes plus novatrices les unes que les autres : la version bio du bâillon ( plus écologique, mais pas constamment plus saine ), la redécouverte de la menstruelle, les portefeuille hygiéniques lavables… Et désormais, les slips de règles.

L’attention accordée aux interrogations d’écologie n’a jamais été aussi forte qu’aujourd’hui. Sur ce positionnement, la menstruelle apparaît évidemment comme un accessoire du 21e siècle : a l’inverse des méthodes de protection classiques, comme le bouchon ou la poche salubre, à presser immédiatement après utilisation, la coupe menstruelle est réutilisable. Il est la vérité qu’on a noté une avancée en terme d’éco responsabilité avec l’apparition, dans le secteur, de serviettes hygiéniques biodégradables. Mais la sacoche finit toujours certainement à la coffre, alors que la menstruelle a une durée de vie d’au moins dix ans.

Le premier terme conseillé concernant la cup est déposé par Leona Chalmers, une des pionnières dans le domaine des housses hygiéniques. Son objectif est d’améliorer les produits d’hygiène intime destinés aux meufs. Elle compose et commercialise la Tassette, qui ne rencontre pas le succès désiré. Il s’agit effectivement d’une en caoutchouc rigide et incommodant. À l’époque, les femmes sont également réticentes à le principe d’introduire une forme représentative quelconque dans leur sexe, et les bouchon sont eux aussi boudés. Les protections hygiéniques externes sont largement préférées. En 1959, Oreck rachète les franches du charge de Leona Chalmers. Il recommencement la Tassette dans le secteur , mais celle-ci disparaît encore en 1963. L’homme d’affaires ne s’avoue pas vaincu et crée une menstruelle jetable, la Tassaway, en 1970. La première cup à rester vite dans le secteur est la Keeper, lancée en 1987.

Source à propos de plus d’infos ici