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L’expression « développement pérenne », omniprésente dans les médias et la politique, semble vie parce que évidente alors qu’elle porte deux dette singulières impossibles à adopter sans patauger à l’une des 2. Ce paradoxe n’est que le résultat de l’acceptation aveugle d’un postula insoutenable beaucoup plus ancien qu’Aristote avait déjà rompu comme l’achat la plus antinomique à la nature : « l’argent ne fait pas de petits ». En effet, s’il est plus que possible pour une population humaine d’évoluer vers une égalité, cela ne l’est pas pour une économie fondée sur le prêt à intérêt pour quelle raison croissance continue et génération d’inégalités sont des qualités structurelles. Le présent rédaction dénonce cette erreur du « couramment plus » comme unique amplitude possible et identifie ce qui dans notre économie marchera déjà sans usure et qu’il convient de véhiculer en fonction d’une transformation vers l’économie durable.Elimination, disqualification écologique, choisi et recyclage, les trois premières étapes d’une gestion durable des déchet sont aujourd’hui environ admises et maîtrisées. La quatrième, et la plus vertueuse, celle du non-déchet, entraine une changement radicale de nos modes de rédaction, de distribution et de consommation. Jusqu’où aller pour allier préservation des ressources et du milieu et nécessaire quiétude des besoins- ?La question des chute donne l’opportunité une vision intéressante et concrète du expansion durable. En effet, elle cristallise les problè‑ mes de protection de l’environnement ( mais aussi les problèmes sociaux ou éco‑ nomiques liés ) sous une forme directement perceptible‑ : chacun de nous publication cha‑ que jour des matériau perdu, sait ce qu’est un benne d’ordu‑ res avec son personnel et peut aussi chaque jour servir soit à une meilleure gestion ( mise à la huche, sélectionne ), soit à une disqualification peu respec‑ canonnière de l’environnement.Le concept de développement pérenne ( DD ) a vu le jour dès le tout début des années 1970. Quelques personnalités, vues et scientifiques, inquiètes de dysfonctionnements qu’elles pouvaient surveiller ( modifications météorologiques, diminution des bien en énergies fossiles, inégalités sociales grandissantes, etc. ), avaient ainsi attiré l’attention sur la nécessité d’intégrer probité sociale et réticence écologique dans les modèles de développement économique.Il faudra estimer la fin des années 1980 pour que la présidente de la Commission mondiale sur l’environnement et le extension ne donne du développement pérenne une véritable définition en le faisant de « extension qui repond a toutes ces besoins du présent sans décrier la capacité générationnel futures à réagir aux leurs ». Cela correspond par conséquent à une vision à long terme permettant tellement de calmer les besoins de génération actuelles et de conserver le monde pour les attentes générationnel futures.Fondamentalement, le développement durable vise à améliorer le bien-être de l’homme en tenant compte des contrariétés environnementales et des capital, dans l’optique de ne pas représenter une diminution de ce plaisir demain, particulièrement étant donné la handicap environnementale des sociétés mais se n’est pas tous. Ainsi les thèmes d’inégalités et de justice sont très présentes dans cette notion. Comme l’affirme le 1er principe de la Déclaration de Rio : » Les individus sont au centre du développement durable «. Le respect de l’environnement est de ce fait instrumental pour le extension pérenne, et non une arrive.